Au-delà de 40 m², un permis de construire est requis. Les tarifs moyens sont alors : 40 m² : entre 38 000 et 76 000 € 60 m² : entre 57 000 et 115 000 € Ce type de projet nécessite souvent un architecte et des fondations plus solides, surtout en cas de surélévation.
Le prix d’une extension de 20 m² dépend du style choisi : Traditionnelle : 20 000 à 50 000 € Véranda vitrée : 18 000 à 60 000 € Ossature bois : 18 500 à 65 000 € Aménagement de combles : 16 000 à 30 000 € C’est la configuration la plus courante : une pièce de vie, un bureau ou une suite parentale légère, souvent réalisable sans permis de construire.
En 2025, le prix d’une extension varie en moyenne entre 1 200 et 2 500 €/m², selon le type et les matériaux. Les prix moyens observés sont : Extension bois : 1 800 à 2 200 €/m² Extension maçonnerie (parpaings, briques) : 1 500 à 1 900 €/m² Extension acier ou mixte : 2 000 à 2 500 €/m² Véranda : 1 200 à 2 000 €/m² Le coût global dépend de la surface, de la finition (brut ou clé en main) et de la complexité du terrain.
En 2025, la réglementation autorise : Jusqu’à 20 m² d’extension sans permis de construire, avec une déclaration préalable de travaux. Jusqu’à 40 m² en zone urbaine couverte par un PLU (Plan Local d’Urbanisme). Au-delà de 40 m², un permis de construire est obligatoire. Si la surface totale après travaux dépasse 150 m², le recours à un architecte devient obligatoire.
Une extension consiste à créer un nouvel espace habitable à l’extérieur de la maison existante, comme une pièce accolée, une surélévation ou une véranda. agrandissement, en revanche, vise à optimiser ou aménager une surface déjà bâtie, par exemple combler un garage, aménager des combles ou un sous-sol. des travaux de construction plus lourds, tandis que l’agrandissement est souvent plus rapide et moins coûteux.
La charpente est la structure porteuse située sous la toiture. Elle soutient et répartit le poids du toit, tout en garantissant la solidité et la stabilité du bâtiment. Composée de bois, de métal ou de béton, elle forme le squelette du bâtiment et contribue aussi à la mise hors d’eau et hors d’air de la maison. C’est un élément structurant essentiel à toute construction, qu’elle soit traditionnelle ou moderne.
Le rôle principal d’une charpente est de supporter la toiture en résistant aux charges (poids, vent, neige, pluie) et aux efforts mécaniques comme la flexion et la traction. Elle garantit la stabilité du toit, préserve la structure des murs et limite les déformations de l’ensemble du bâtiment. Dans certains cas, notamment en charpente traditionnelle, elle a également une fonction esthétique et permet l’aménagement des combles.
La charpente est la structure interne qui forme l’ossature et soutient la couverture, tandis que la toiture désigne l’ensemble des éléments extérieurs qui assurent la protection contre les intempéries (tuiles, ardoises, zinc, etc.). Autrement dit, la charpente constitue le squelette du toit, et la toiture son “enveloppe” visible. Les deux sont indissociables pour assurer la mise hors d’eau du bâtiment.
En 2025, il existe trois grands types de charpentes : Charpente traditionnelle : en bois massif, souvent apparente, idéale pour aménager les combles. Charpente industrielle (ou fermette) : fabriquée en usine, plus rapide et économique à poser. Charpente métallique ou en béton : utilisée pour les bâtiments modernes, elle offre grande portée, résistance élevée et possibilité de toits plats ou arrondis.
Une charpente a trois fonctions principales : Structurelle : maintien et répartition des charges du toit. Protectrice : résistance aux intempéries et forces extérieures. Architecturale : participation à l’esthétique intérieure, notamment dans les charpentes bois apparentes.